Le 8 octobre 2016

 

1er cours et le 2ème cours  (le 22 et le 28 septembre 2016) :

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Nous avons regardé le film "Lettre à Lou". 

Lou est un petit Lion lumineux et facétieux. Aveugle de naissance, il est atteint du syndrome de Morsier également appelé dysplasie septo-optique (ou DSO). Son papa, le réalisateur Luc Boland, a crée un blog pour exposer sa perception du vécu de la différence (en son nom et celui de son fils) et une fondation (Fondation Lou) pour venir en aide à ceux qui vivent le mot «handicap» au jour le jour. Durant six ans, il a filmé la croissance, l’apprentissage et les humeurs de son fils. Lettre à Lou est un documentaire touchant et profondément humain.

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-> nous devrons réaliser un travail qui consiste en l'analyse du vécu sociologique du handicap de Lou.

 

3ème cours (le 29 septembre 2016) :

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Nous avons découvert les besoins affectifs qui se composent de trois pôles :

- L'attachement -> J. Bowlby : ccl suite à la perte d'attachement de la mère, les enfants présentent des capacités irréversibles à construire des relations affectives.

L. Montagnier : ccl suite à la perte d'attachement de la mère, les enfants connaissent un déséquilibre affectif, mais cela n'est pas irréversible.  

- L'acceptation -> C'est la porte d'entrée de l'attachement. Le regard positif et bienveillant de l’environnement, sans qu’ils enclenchent nécessairement de véritables et profonds liens d’attachement, créent néanmoins un véritable espace affectif, émotionnel et sécurisant. Le message de tendresse de l’entourage donne à l’enfant à besoins spécifiques son espace. Celui-ci pourra se différencier d’autrui dans la mesure où il a un lieu où se développer dans la confiance et la continuité. Il pourra s’identifier aux modèles familiaux si les transactions parents-enfants sont empreintes d’acceptations.

- L'investissement -> C'est le projet que les parents ont pour leur enfant. Les parents développent deux logiques envers leur enfant : la théorie de la reproductivité éducative, c'est-à-dire que les parents veulent faire ce qu'ils veulent de leur enfant. Ils lui imposent ce qu'ils veulent qu'il devienne et la théorie de la différenciation éducative, c'est-à-dire que l'enfant trouve que le chemin tracé par ses parents n'est pas celui qu'il veut suivre et il va essayer de le modifier. Cela provoque des conflits entre les parents et l'enfant.

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Les besoins sociaux qui se composent également de trois pôles :

- La considération -> elle nous renvoi à l’idé d’estime que l’on a vis-à-vis d’une personne. Pour vivre en société, tout être humain a besoin d’être reconnu en tant que personne avec des mérites, des compétences spécifiques et une certaine dignité. Pour exister en tant qu’être social, il importe que l’on représente une valeur dans la société, que l’on dispose d’un certain prestige.

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Nous avons ensuite regardé une vidéo sur l'affectif des personnes en situation de handicap. L'asbl «La maisonnée» est un Service Résidentiel pour adultes. Depuis 50 ans, elle travaille au service de personnes à handicap mental. 

 

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4ème cours (le 6 octobre 2016) 

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- Les structures -> Ce sont des modes de régulations qui sont à l’origine de l’exercice des fonctions des membres du système familial. 

Deux styles éducatifs : 

• style permissif : les parents permettent tout parce que l'enfant demande beaucoup et qu'il est en situation de handicap.

• style rigide : il y a des lois et il faut les respecter. Il y a une surprotection de l'enfant parce que les règles sont là et elles sont présentes pour le surprotéger.

Il existe également un juste milieu, c'est-à-dire une sorte de troisième style éducatif. 

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Nous avons ensuite regardé une vidéo expliquant le point de vue de la maman de Lou. 

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5ème cours (le 12 octobre 2016)

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- La communication -> Elle est très importante, car grâce à elle l'enfant entre dans le système. Il doit apprendre le langage parlé avec son entourage. Elle est très présente toute la vie. Plus l'enfant grandit, plus la communication est importante pour les échanges.

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Les besoins cognitifs qui se composent également de trois pôles :

- La stimulation -> Elle constitue une part importante des conditions de l’acte d’apprendre chez l’enfant en situation de handicap. Il faut donc inciter l’enfant « handicapé » à agir sur son environnement. Le travail de l'orthopédagogue est d'aider l’enfant à donner du sens à son action et à créer des liens avec les savoir-faire antérieurs. De plus, l'orthopédagogue favorise la conscientisation et suscite l’explication par le sujet des stratégies qu’il utilise.  Celui-ci, placé à coté de l’apprenant, non entre lui et le savoir, a pour tâche d’organiser sa démarche vers le savoir, ce qui favorise l’autonomie de l’enfant en situation de handicap.

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Nous avons ensuite regardé une vidéo expliquant le point de vue du papa et de la sœur (Mathilde) de Lou. 

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6ème cours (le 19 octobre 2016)

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- L'expérimentation de ce qui a été mis en place pour lui -> C'est l'arrivée de la pédagogie active. Les jeux et les outils doivent répondre à certains critères pour pouvoir être à la portée de l'enfant.

On fait appel au procédé d'essais-erreurs (base de l'acte intelligent (selon Clarapède)).

C'est la création pour l'enfant d 'un milieu favorable à son besoin d'expérimenter (Montessori). L'expérience est suscitée par l'intérêt et doit s'effectuer sur des objets concrets du monde réel (Decroly).

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- Le renforcement -> 2 types :

Positif = permet la réapparition d'un comportement voulu.

Négatif = élimination d'un comportement non désiré.

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Nous avons ensuite regardé une vidéo expliquant le point de vue de la sœur (Eva) de Lou et le déroulement d'une journée de Lou.

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Notre travail

Dans le cadre de ce cours, il nous a été demandé de faire l'analyse sociologique de Lou.

Voici notre 

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Vous trouverez également ce travail sur la page :

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