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Déficience mentale

Le 19 novembre 2016

Nous avons débuté le cours en essayant de définir le métier d'orthopédagogue. 

Nous sommes arrivés aux éléments suivants :

Un orthopédagogue est un médiateur, un accompagnateur qui agit de manière différente en fonction des besoins et qui cherche des adaptations pour la personne. Il travaille avec tous les acteurs qui agissent avec le bénéficiaire.

Nous avons ensuite parlé de la notion de situation de handicap :

En effet, la situation, le contexte amène le handicap et pas la personne ayant un handicap.

                      Modèle "Bio psycho-social" de la déficience intellectuelle 

 

 

 

3 événements :

- Scolarisation obligatoire (milieu XXe s.).

- Mise au point d'échelles d'intelligence (créées par A. Binet) pour voir si on est capable de suivre l'enseignement classique.

- Développement des sciences psychologiques : on apprend à accompagner au mieux les personnes à besoin spécifique.

Concept de normalisation :

Malgré les différences de chacun, permettre à chacun d'accéder à ce que tout le monde a accès. 

- Normalisation physique, fonctionnelle, sociale et au niveau de la société.

Valorisation des rôles sociaux :

Travail sur l'autonomie et le rôle de chacun dans la société.

Le 21 octobre 2016, nous avons eu le plaisir d'accueillir deux intervenantes venues nous parler de leur projet nommé "Fratriha" (association intégration).

La première intervenante nous a parlé de ce qu'elle a vécu en tant que sœur de deux frères ayant une déficience mentale légère.

La seconde intervenante nous a expliqué en quoi consistait la plateforme Fratriha inclusion. Nous avons donc pu échanger autour de plusieurs sujets :

- le vécu de la fratrie en fonction de différents facteurs (le nombre d'enfants, la place de l'enfant au sein de la fratrie ...);

- l'impact sur la famille suite à l'annonce du handicap (le repli sur soi, la remise en question ...);

- l'impact du handicap sur les relations familiales (focalisation sur le handicap, perturbation de la dynamique familiale ...);

- les besoins de la fratrie (reconnaissance, être écouté ...); 

- les difficultés au quotidien (le regard des autres, être étiqueté comme le frère ou la sœur de ..., l'impression de vivre dans deux mondes séparés ...);

- ce que la fratrie peut apporter à l'enfant avec handicap (stimulation avec les jeux, soutien, affection ...);

- ce que l'enfant avec handicap peut apporter à la fratrie (responsabilité, autonomie, solidarité, ouverture à la différence ...); 

- parler du handicap avec des personnes professionnelles (parfois plus simple de parler à une personne extérieure, écoute neutre et bienveillante ...).

Tous ces thèmes abordés étaient vraiment très enrichissants !

Je me suis vraiment rendue compte que la fratrie n'était pas assez prise en compte et que c'est d'une grande importance pour que les frères et sœurs ne se sentent pas mis à l'écart de la famille ...

Notre travail 

Pour ce cours, il nous a été demandé de choisir une déficience intellectuelle, de mettre en évidence ses caractéristiques, ses besoins, ses causes, le type d'accompagnement, etc. Avec mon groupe, nous avons choisi le syndrome de Williams.

 

Voici notre  

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